J'ai récemment terminé la lecture de L’Éducation Sentimentale

J'ai récemment terminé la lecture de L’Éducation Sentimentale, par Gustave Flaubert. Le volume, imprimé en 1969, m'a immédiatement sauté aux yeux lorsque je l'ai aperçu sur une étagère à livres du centre commercial Carrefour de Quimper.

Je venais de terminer la lecture de La Nausée, par Jean-Paul Sartre, chiné au même endroit. Alors je me suis dit qu'après m'être identifié au personnage d'un récit se déroulant au 20è siècle, ce serait bien de me laisser emporter par celui d'un autre du 19è.

Passée la chronologie de l'auteur, j'ai complètement évité la préface pour entamer au plus vite *l'histoire d'un jeune homme*. Le cadre était idéal, libéré de presque tout engagement, logeant à proximité d'un petit chemin vert bordé d'un cours d'eau, j'étais dans les meilleures conditions imaginables pour lire le pire ou le meilleur roman de Flaubert.

Les premiers jours, je lisais avec attention et régularité au rythme d'un ou deux chapitres par jour, en fonction des caprices du hasard. Arrivé vers la deuxième partie, je me demandais comment trouver un camarade de lecture qui découvre ce roman au même moment que moi, pour engager une discussion sur le sujet. Je devais facilement trouver des commentaires de textes de plus ou moins bonne qualité en cherchant rien qu'un peu. Mais qui dans mon entourage pour échanger avec moi sur ce livre ?

Une manière de rallier des gens à ma cause serait de prendre note des passages qui m'interpellent, ou de mes interprétations, pour les partager sur une plateforme adéquate. Alors voilà...